lundi 8 novembre 2010

Chapitre final.


         Si j'ai appris une chose au cours de ce voyage c'est qu'il faut cultiver son jardin. J'entends par là que le bonheur se crée, se travaille jour après jour. La vie parfaite n'existe pas, elle nécessite du temps pour être. Pangloss s'était trompé: tout n'est pas au mieux dans le meilleur des mondes possibles. Le malheur et la tristesse nous entourent mais ce n'est pas une fatalité, en faisant des efforts nous pouvons les vaincre.Au cours de ces derniers mois j'ai pu faire la connaissance de nombreuses personnes (Jacques, Martin, le Nègre de Surinam, en autres) qui m'ont appris tant de choses sur moi-même et sur la vie.
Ma vie n'a pas pris la tournure que j'espérais,cependant je n'ai jamais été aussi heureux qu'à ce moment présent. Le bonheur est simple et à la portée de tous.



Candide.

Chapitre 29.

       

           Nous retrouvâmes enfin la Vieille et Cunégonde. Elle ressemblait effectivement beaucoup à la description que m'avait fait Cacambo. Elles étaient esclaves et pour les revoir il nous fallait les racheter. Ce que nous fîmes. Malgré la laideur de Cunégonde, je décida de l'épouser. Son frêre s'y opposa à nouveau. Je ne prêta point attention à ses dires et célébra notre union.

Chapitre 28.


         Pangloss et le frêre de Cunégonde, le jeune Baron, nous racontâmes leurs folles mésaventures.Voir mon précepteur ici, vivant et parmi nous me rassurant infiniment sur mes convictions.

Chapitre 27.



          Nous décidâmes donc de rejoindre Constantinople, Martin, Cacambo et moi, dans l'espoir de retrouver ma belle Cunégonde. Cacambo m'effraya en m'annonçant la nouvelle apparence de cette dernière. Elle aurait dané et serait devenue vieille.
Quelle ne fût pas mon étonnement quand je découvris, à Constantinople, Pangloss ainsi que le fils du Baron ressuscités et sa sœur, Cunégonde.

Chapitre 26.




          Mon ami Martin et Moi avons eût l'immense privilège d'assister au Carnaval de Venise et de diner auprès de six rois qui avaient été détrônés. C'est à ce même repas qu'un miracle se produisit; j'aperçus Cacambo à travers la foule. Ils nous fût très difficile de contenir notre joie tellement la surprise était grande. Je cru de nouveau en mon union avec Cunégonde: je me devais de la rechercher. Sur les conseils de ce cher Cacambo, nous prîmes la route de Constantinople dans l'espoir d'assister à un second miracle en retrouvant ma Douce.

Chapitre 25.

            Toujours en compagnie de Martin, je me redis au Palais du noble Pococurantémi afin de le saluer. Celui-ci nous offrîmes l'hospitalité et nous fit visiter son incroyable demeure ainsi que sa stupéfiante bibliothèque. Cependant, ce seigneur m'offensa grandement; il trouvait toujours à redire sur nos choix littéraires. J'en déduisis que ce n'était qu'un éternel insatisfait.  Tout, pour lui était matière et rien ne lui convenait.
 

Chapitre 24.

  

              Je fit chercher Cacambo dans tout Venise mais personne ne parvint à le trouver. Ma tristesse était grande et le monde m'apparut uniquement comme une simple illusion et calamité. A ma plus grande surprise, Cunégonde n'occupait plus la première place dans mes penser car je ne pensais plus jamais la revoir.
Par un pur hasard, dans les rues de Venise, Je rencontras une ancienne servante, Paquette.

Chapitre 23.


        Je pris le bateau à Dieppe et longea les cotes anglaises toujours accompagné de  Martin. Nous arrivâmes à Portsmouth, et là, nous assistâmes à l'assassinat d'un Amiral par des soldats. Je n'avais plus qu'une envie: retourner à Venise. Nous nous rendîmes donc en Italie. Je me répétais sans cesse ce que Pangloss m'avait enseigné afin de ne pas perdre la foi et l'espoir.

Chapitre 22.



        Je dû abandonner mon mouton rouge, et je réussi à obtenir de l'argent grâce à la revente des diamants de l'Eldorado. Cependant je fus pris d'une maladie assez douloureuse, mais, Dieu soit loué, je réussi à guérir.
Pour me récompenser, je me redis au théâtre de Paris et y vu une pièce des plus touchante.
A mon plus grand regret, je trompas Cunégonde avec une fausse marquise. Dieu m'en puni et je fus poursuivis par la justice, je pris donc la fuite avec mon ami Martin, à Dieppe.

Chapitre 21.

 
 
Moi et mon ami Martin arrivâmes en France.

Chapitre 20.



          Lorsque nous embarquâmes pour Bordeaux avec mon ami Martin, il prit le soin de me faire part de ces opinions. Je fus surpris d'entendre que sa vision du monde est s'éloigne fortement de celle de Pangloss. Toutefois, après avoir vu et vécu les pires choses de la vie, je dû admettre que tout n'était peut-être pas idyllique comme je le laissais entendre auparavant. Peut-être avait-il raison ? Ce monde était mauvais, et rien n'allait correctement...

Chapitre 19.



            Fière de notre fortune récente, nous arrivâmes, Martin et moi, à Surinam avec le sourire. Cependant, nous avions perdu bons nombre de nos moutons rouges au cours de ces 100 jours de marche séparant l'Eldorado de Surinam.
Notre joie fût de courte durée: dès notre arrivée, nous rencontrâmes un nègre esclave du fameux négociant, M. Vanderdendur. Il gisait sur le sol dans un piteux état, il n'était vêtu de que de chiffons et était atrocement mutilé. Il nous conta son histoire, qui était des plus abominable. Je perdis toute confiance en la théorie de Pangloss, tous ces mots n'avaient été que mensonge.

C'est également à cette étape de mon voyage que je dû me séparer de Cacambo, ce cher Cacambo. Il prit la route pour Buenos Aires et moi, je continua mon chemin pour retrouver mon Amour. Un négociant Hollandais se proposa de me ramener à Venise avec une contrepartie monétaire. Mais celui-ci n'en fit rien et me vola mes moutons et ma fortune. Les hommes sont d'une telle cruauté!

Chapitre 17 et 18.



               Nous avions mis tant d'espoir dans ce voyage en Amériques, et nous en avons tiré tant de déceptions que nous décidâmes de retourner en Europe, afin que j'y épouse ma promise.
Nous nous retrouvâmes dans un lieu extraordinaire: l'Eldorado. Tout y est merveilleux, les pierres précieuses y sont omniprésentes, les transports plus rapides, l'herbe plus verte, l'air plus vif, les gens plus sympathiques.

Chapitre 16.



            Nous nous sommes par la suite, retrouvés au pays des Oreillons où, avec Cacambo, nous avons failli nous faire dévorer. Heureusement, lorsqu'ils sont ont pris connaissances de notre haine envers les Jésuites, leur accueil fût des plus chaleureux. Puis, nous avons assisté à une scène fort originale: une femme peu vêtue s'est faite poursuivre par ses deux amants, des singes.

Chapitre 15.



Le fils du Baron, désormais Jésuite, me conta son histoire. Lorsque je lui raconta à mon tour mes épopées ainsi que mon amour sans limite pour sa sœur, il m'annonça la chose la plus horrible à ouïr: il s'oppose et s'opposera du mieux qu'il le peut à mon mariage d'avec la belle Cunégonde. Me considérant comme un "bâtard" du fait des mes origines non nobles. Je ne pus contenir ma rage. Je dû le tuer, tout comme j'avais dû assassiner le Grand Inquisiteur. M'interdire d'épouser mon âme sœur, après tout ce que j'avais fait pour elle! était d'une impolitesse folle.

Chapitre 14.



              A mon plus grand regret je pris la fuite avec mon  valet, Cacambo. Je laissa donc ma belle Cunégonde derrière moi.
Sur les conseils de Cacambo, nous partîmes de Buenos Aires pour rejoindre le Paraguay où nous retrouvâmes, non sans surprise le frère de Cunégonde qui étaient devenu Révérend Père.

dimanche 7 novembre 2010

Chapitre 13.



             Lorsque l'on atteignit enfin les côtes de Buenos Aires, nous fûmes bien accueillis. En effet, le Gouverneur ne put contenir sa passion pour la douce Cunégonde: il l'a demanda en mariage immédiatement. Quant à moi, mon passé me rattrapa, je fus accusé de l'assassinat du Grand Inquisiteur, je n'eus d'autres choix que la fuite.

mercredi 3 novembre 2010

Chapitre 11 et 12.






             Pendant notre voyage, la Vieille nous raconta son histoire: fille d'un Pape et de la Princesse de Palestrine, elle se fiança à un Prince. Suite à son décès, elle parti, accompagnée de sa mère, vers Gaète. Elles y subissent un vol qui les rendit pauvre. Les malfrats qui les avaient dépouillés, les obligèrent à devenir esclaves au Maroc. Une fois arrivées sur place, elles assistèrent à une guerre sans merci, au cours de laquelle la Princesse de Palestrine mourut. Là-bas, elle fit la rencontre d'un Italien, pays dont elle est originaire. Par un heureux hasard, cet homme se trouvait être le chanteur de feu sa mère. Il lui promit de la raccompagner dans son pays natal mais n'en fit rien. Elle arriva donc, contre son gré, à Alger où devint esclave. Suite à de violents affrontements, des barbares lui coupèrent une fesse.

Chapitre 10.



               Suite au vol des bijoux de Cunégonde, nous nous sommes retrouvés sans argent. Toutefois, nous avons décidé de vendre un de nos chevaux afin d'arriver à Cadix et de pouvoir embarquer à bord d'un navire nous permettant de rejoindre notre destination finale: l'Amérique du Sud. Le continent américain nous paraissant être le meilleur des mondes.

Chapitre 9.






           Sur un coup de colère, Issacar voulant récupérer Cunégonde se jeta sur moi. Je réussis à me défendre grâce à une épée qui se trouvait dans mon habit, et le tua. Vint alors le Grand Inquisiteur, qui venait rendre visite à Cunégonde, je dus alors le tuer à son tour pour assurer ma survie. Nous avons par la suite pris la décision de fuir pour séjourner à Cadix.

Chapitre 8.



             Elle me raconta ses mésaventures, ce qui est arrivé au château, son viol, comment elle fut prisonnière de guerre et, en quelque sorte, sauvée par un Capitaine Bulgare et comment il la vendit à un juif nommé Don Issacar qui lui permit d'arriver ici, au Portugal. Par la suite, elle rencontra le Grand Inquisiteur, qui tomba amoureux d'elle et qui l'invita à l'autodafé. Celui-là même où je fus fessé. J'ai donc retrouvé ma Belle, en même temps que mon espoir en l'avenir.

Chapitre 7.



             Cette Vieille, d'une gentillesse infinie, me soigna. Puis m'offrit le cadeau ultime: retrouver mon Amour, Cunégonde. Saine et sauve.

Chapitre 6.


               Les sages de Lisbonne décident, pour empêcher d'autres éventuels tremblements de terre, de faire un bel auto-da-fé. Ils ont en conséquence choisi de sacrifier un Biscayen convaincu d'épouser sa commère et deux Portugais, qui en mangeant un poulet en avaient arracher le lard.
Huit jours après cette cérémonie, et suite à notre séjour en prison, Pangloss et moi avons été mené sur la place, vêtus d'un San-Benito et de mitres. Pangloss fut pendu, et moi, fessé. A l'étonnement de tous, la terre trembla à nouveau. J'en perdu espoir. Cunégonde, puis Jacques, et maintenant Pangloss, c'en était trop! Je me demanda alors: "si c'est ici le meilleur des mondes possibles, que sont donc les autres ?".
Une Vielle me redonna confiance et me demanda de la suivre.

Chapitre 5.



            Les drames arrivants par cycle, nous avons assister à une tempête déchainant la mer. Mon ami Jacques, en voulant secourir un membre de l'équipage qui était en train de se noyer, perdu la vie. Nous parvenons tout de même, avec Pangloss, à rejoindre les côtes de Lisbonne.
A notre arrivée, une nouvelle mésaventure nous attendait: un tremblement de terre abominable. Dès lors, pour quelques discours considérés comme suspects, nous avons été accusé d'en être la cause.

Chapitre 4.



            Par un heureux hasard, j'ai retrouvé mon ami Pangloss. Mais, à mon grand désespoir, il a été défiguré par la Vérole suite à de nombreux abus. A cette mauvaise nouvelle s'ajoute le drame qui a touché le château: Cunégonde ainsi que ces autres occupants ont été assassiné par des soldats bulgares.
Mon chagrin fut sans limite, cependant Jacques nous a proposé de nous accompagner au Portugal où il devait se rendre pour affaires.

Chapitre 3.



            Une fois de nouveau sur pied, j'ai pu assister à un spectacle extraordinaire: un violent affrontement entre les le peuple Bulgare et les Abares. Face à ce drame, j'ai décidé de fuir la Bulgarie et de découvrir la Hollande. Manquant encore de vivres, j'ai dû faire appel au bon sens chrétien. Sans succès! Heureusement, j'ai rencontré un anabaptiste, Jacques, d'une gentillesse remarquable. Il m'a apporté tout ce dont j'avais besoin.

Chapitre 2.



                   Mon voyage commence donc ici, en Bulgarie où j'ai atterri suite à mon expulsion. En cherchant un endroit où dormir et de quoi manger et boire, j'ai fait une mauvaise rencontre qui me valu d'être battu. Le roi des Bulgares, frederik II me vint en aide, et me fit soigner. Grâce à lui, j'ai retrouvé confiance en l'Humanité et ce périple m'a confirmé ce en quoi je croyais déjà: tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possible.

Chapitre 1.



              Mon histoire commence dans le château de mon enfance, en Westphalie. J'y ai passé une vie paisible et heureuse jusqu'au jour où je suis tombé amoureux d'une femme d'une beauté sans égal; Cunégonde. Lorsque nous avons décidé de profiter de notre amour, son père, le Baron nous ayant surpris, a décidé de me chasser de son domaine. Je me suis ainsi retrouvé seul, et sans argent.

Préalable.


                 Une courte présentation me semble nécessaire avant de vous exposer mes voyages, et péripéties. Né le 13 janvier 1759, à Genève, j'ai été élevé dans le château du Baron de Thunder-ten-tronckh en Westphalie par Pangloss, mon précepteur. On me qualifie souvent d' optimiste, et je pense être quelqu'un de gentil et attentionné.
Ces voyages, dont je ne tarderai à vous faire part, m'ont appris énormément sur moi, les autres et la vie. Je crée ce site dans le but de vous faire partager mes sentiments et évolutions.
Sur ce, je vous laisse découvrir mon histoire ...