Toujours en compagnie de Martin, je me redis au Palais du noble Pococurantémi afin de le saluer. Celui-ci nous offrîmes l'hospitalité et nous fit visiter son incroyable demeure ainsi que sa stupéfiante bibliothèque. Cependant, ce seigneur m'offensa grandement; il trouvait toujours à redire sur nos choix littéraires. J'en déduisis que ce n'était qu'un éternel insatisfait. Tout, pour lui était matière et rien ne lui convenait.
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